lundi 20 avril 2015

Loi Renseignement: François Hollande devra motiver la saisine du Conseil constitutionnel

Propos de François Hollande sur le PCF: "j'ai un peu de mal à l'avaler", déclare Pierre Laurent

Baromètre JDD : Hollande, Valls, la double chute

Après la défaite, la chute. François Hollande et Manuel Valls paient dans ce baromètre Ifop pour le JDD le prix de l’échec des départementales. "Cette double chute de l’exécutif est classique après une défaite électorale. Mais c’est préoccupant car François Hollande revient à l’étiage ante Charlie" explique Frédéric Dabi, directeur à l’Ifop.
Le Président de la République chute de 4 points et seuls 21% des Français sont satisfaits de lui. "Ce que les Français lui reprochent, c’est l’absence de résultats et son image d’éternel optimiste. Les discours sur 'la reprise est là', 'la croissance revient' ne passent pas au moment où les Français ne voient pas de résultats" analyse Dabi. Hollande perd du soutien à gauche (-13 points au PS, passant de 70 à 57% de satisfaits, -7 au Front de gauche, -4 à EELV). En 2010, trois ans après son élection, Nicolas Sarkozy recueillait 31% de satisfaits, soit 10 points de plus. Sarkozy était lui très soutenu à droite.

"Il parle bien mais on n'en voit pas la couleur"

Manuel Valls chute un peu plus. Il perd 5 points.  40 % des Français sont satisfaits du Premier Ministre, 59 % mécontents. "La chute de Valls est plus forte, mais il y a encore près de vingt points de différence avec Hollande. Il perd 10 points dans les professions intermédiaires mais à gauche, il tient", raconte Frédéric Dabi. 76 % des sympathisants socialistes (contre 82 % le mois dernier) sont satisfaits de Manuel Valls.
Il perd à droite et à l’extrême-droite (moins 8 points à l’UMP avec 30 % de satisfaits, et moins 9 points à l’extrême-droite avec 15 % de satisfaits). "Il est victime du décalage entre son discours et ses actes" décrit Dabi. "Il parle beaucoup, il parle bien mais on ne voit pas la couleur" lui reproche un électeur. L’exécutif subit aussi le retour du débat sur les impôts locaux et paie à gauche le projet de loi sur le renseignement. 
 

Comparaison entre le PCF et Marine Le Pen: "Il n'y aura pas d'excuse publique" prévient Le Foll

jeudi 16 avril 2015

Alain Duhamel : "L'UMP change de nom pour symboliser le renouveau de la droite

François Bayrou : "Il faut sortir de ce duel-duo entre les deux partis dominants"

Présidentielle 2017: François Fillon ne veut pas d'un "concours de beauté"

Fillon en a ras-le-bol des confidences de Sarkozy

L'ancien Premier ministre demande au "président de l'UMP et ses équipes de mesurer leurs propos", dans une interview au Point. Il fait référence à des petites phrases qu'aurait tenu Nicolas Sarkozy contre lui.
Revoilà François Fillon. Et il ne mâche pas ses mots. Silencieux depuis plusieurs semaines, inaudible plutôt tant Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé saturent l'espace médiatique, l'ancien Premier ministre donne une longue interview au magazine Le Point cette semaine.  Il y réaffirme sa candidature à la primaire UMP, affirmant que "rien ne l'empêchera d'aller jusqu'au bout, pas même les intimidations". Et le ton de cet entretien révèle un François Fillon très agacé par l'offensive de Nicolas Sarkozy et de ses proches pour tuer sa candidature en 2016.

L'ancien Premier ministre fait référence à des confidences que Nicolas Sarkozy aurait tenu à ses proches ces derniers jours où il affirmait souhaiter "priver d'oxygène François Fillon" et se venger de l'affaire des pénalités dans laquelle il l'accuse d'avoir joué un rôle centrale.

"Il y a une petite musique : François Fillon est mort"

En réponse à ces attaques qu'aurait proféré Nicolas Sarkozy,  François Fillon menace la première fois en des termes assez clairs l'ancien chef de l'Etat : "au nom du rassemblement, le président de l'UMP et ses équipe devraient mesurer leurs propos. Une somme d'injures ne fait pas une politique".  Et d' ajouter : "ce que je lis dans la presse n'est pas rassurant...".Des phrases qui sonnent comme une mise en garde à quinze mois  de la primaire qui ne s'annonce pas de tout repos.

Vendredi matin, sur BFM, François Fillon est revenu sur son interview dans Le Point.  "On voit bien qu'il y a une petite musique sur le thème « François Fillon est mort, je vois bien une certaine manipulation des sondages", a détaillé l'élu de Paris. "Il y a eu une première manipulation pour me retirer la présidence de l'UMP", a-t-il dit en référence à son afrontement de l'automne 2012 avec Jean-François Copé, ajoutant ce commentaire : "Bien sûr qu'on m'a volé !" "Aucune intimidation ne me fera reculer, je serai sur la ligne de départ", a-t-il insisté.
 

jeudi 9 avril 2015

Crise au FN : Marine Le Pen sera l'invitée du 20 heures de TF1

La présidente du Front national sera jeudi soir l'invitée du 20 heures de TF1. Elle s'exprimera sur la crise qui secoue depuis une semaine le parti fondé par son père alors que ce dernier multiplie les déclarations polémiques.
Marine Le Pen sera jeudi soir l'invitée du 20 heures de TF1, au lendemain de l'interview donnée par son père à la revue Rivarol. La présidente du Front nationale réagira aux propos tenus par son père dans cet entretien ainsi que ceux de la veille sur RMC.

Dans l'hebdomadaire d'extrême droite, le fondateur du parti s'en est pris au "torrent de l'immigration", qualifiant "le million de Chinois en France" de "gens intelligents, actifs, discrets, mais néanmoins puissants et redoutables". Il a également soutenu que la France devrait s'entendre avec la Russie pour sauver "le monde blanc". Il ajoute n'avoir jamais considéré le maréchal Pétain « comme un traître".

 

Primaire UMP: "2 millions de votants serait un beau résultat" pour Bruno Le Maire

Emmanuel Macron confirme le gel des tarifs des péages pour 2015

La famille Le Pen au cœur de la polémique

mercredi 8 avril 2015

vendredi 3 avril 2015